
Chercheur Post Doctorant Réduction de la Gêne Auditive par des Méthodes de Réalité Augmentée H/F - CNRS
- Nantes - 44
- CDD
- CNRS
Les missions du poste
Cette offre d'emploi concerne un travail de recherche fondamentale dans le domaine des sciences des données. La principale mission est l'invention de nouvelles méthodes computationnelles pour l'apprentissage profond (deep learning). Plus précisément, il s'agira de mener à bien des recherches en traitement du signal audionumérique pour la réduction de la gène dans les espaces de travail ouverts.
Les méthodes proposées devront être innovantes et répondre à des besoins précis en synthèse automatique de contenu audio. En particulier, un verrou récurrent du domaine réside dans la capacité limité des méthodes de synthèse neuronales à s'adapter à des contraintes lié au temps réel.
Activités
Les activités sont celles d'une activité de recherche fondamentale en sciences informatiques au CNRS. Notamment : l'écriture d'articles scientifiques, le développement logiciel, la réalisation de simulations numériques, la participation aux réunions de l'équipe, la présentation des travaux lors de conférences et congrès, l'animation scientifique de la communauté de recherche.
Plus particulièrement, il sera demandé des implémentations de :
- 1 outil de synthèse de scènes sonores environnementales en python
- 2 protocole d'expérimentation
- 3 outils de réduction de la gène
Compétences
1. La curiosité scientifique est indispensable.
2. Une capacité à critiquer, approfondir, et transmettre l'état de l'art en recherche est requis. Une expérience de médiation scientifique est utile maisnon requise.
3. Une maitrise de l'anglais scientifique, à l'écrit comme à l'oral, est requise. La maitrise du français est utile mais non requise.
4. Des connaissances de base en traitement du signal.
5. Une expérience en sciences des données, idéalement en traitement de l'audio ou de la parole, est requise. Une expérience en réseaux de neurones profonds est utile mais pas requise.
6. Une capacité à programmer en langage Python, à utiliser une ligne de commande, et à utiliser le contrôle de version (git). Des expériences en calcul intensif (type GPU), ou calcul parallèle sont utiles mais pas requises.
7. Capacité à organiser des tests perceptifs pour évaluer la pertinence des algorithmes dévelopés
Contexte de travail
Le chercheur ou la chercheuse sera membre du Laboratoire des Sciences du Numérique de Nantes (LS2N), une unité mixte de recherche dont lescomposantes sont : le CNRS, Nantes Université, l'École Centrale de Nantes, l'IMT Atlantique, et Inria. Voir : https://www.ls2n.fr/
Au LS2N, le chercheur ou la chercheuse sera membre de l'équipe "Signal, Image et Son" (SIMS). Voir : https://audio.ls2n.fr/
Le chercheur ou la chercheuse travaillera principalement avec Mathieu Lagrange, chercheur au CNRS. Un travail avec les doctorants et doctorantes de l'équipe pourra être envisagé.
Le chercheur ou la chercheuse participera aux activités du GdR CNRS IASIS ("Information, Apprentissage, Signal, Image, viSion"), plusparticulièrement, de son axe "Audio, Vision, Perception". Voir : https://www.gdr-isis.fr/
Le chercheur ou la chercheuse aura un bureau partagé avec une autre personne, sur le site de l'École Centrale de Nantes. Il ou elle aura accès à un ordinateur de travail ainsi que du matériel informatique. Il ou elle aura un accès à une infrastructure de calcul intensif, notamment GPU.
Le chercheur ou la chercheuse sera membre du Laboratoire des Sciences du Numérique de Nantes (LS2N), une unité mixte de recherche dont lescomposantes sont : le CNRS, Nantes Université, l'École Centrale de Nantes, l'IMT Atlantique, et Inria. Voir : https://www.ls2n.fr/
Au LS2N, le chercheur ou la chercheuse sera membre de l'équipe "Signal, Image et Son" (SIMS). Voir : https://audio.ls2n.fr/
Le chercheur ou la chercheuse travaillera principalement avec Mathieu Lagrange, chercheur au CNRS. Un travail avec les doctorants et doctorantes de l'équipe pourra être envisagé.
Le chercheur ou la chercheuse participera aux activités du GdR CNRS IASIS ("Information, Apprentissage, Signal, Image, viSion"), plusparticulièrement, de son axe "Audio, Vision, Perception". Voir : https://www.gdr-isis.fr/
Le chercheur ou la chercheuse aura un bureau partagé avec une autre personne, sur le site de l'École Centrale de Nantes. Il ou elle aura accès à un ordinateur de travail ainsi que du matériel informatique. Il ou elle aura un accès à une infrastructure de calcul intensif, notamment GPU.
Contraintes et risques
Ce contrat ne comporte pas de travail isolé, d'effort physique intense ni de manipulation de machines robotisées.
Ce contrat comporte une quantité importante de travail sur écran, d'où des risques professionnels bien répertoriés : principalement, troublesmusculosquelettiques, lombalgies, fatigue visuelle, et stress. Face à ces risques, nous proposons d'agir sur l'aménagement du poste de travail, sur lechoix du matériel et sur l'organisation du travail. Lire notamment : https://www.inrs.fr/risques/travail-ecran/ce-qu-il-faut-retenir.html
Le chercheur ou la chercheuse ne sera pas exposé-e à des produits toxiques, à des pathogènes, au bruit, aux vibrations, aux rayonnemmentsdangereux, ni à l'électricité à haute tension.
Il est attendu que le chercheur ou la chercheuse parte en mission en France ou à l'international deux à trois fois par an. Les dates et destinations restent à
négocier en fonction des contraintes personnelles du chercheur ou de la chercheuse.
Les risques de chute, d'incendie ou d'électrocution sont faibles, et soumis à un contrôle par les assistants de prévention du laboratoire.
Ce contrat ne comporte pas de travail isolé, d'effort physique intense ni de manipulation de machines robotisées.
Ce contrat comporte une quantité importante de travail sur écran, d'où des risques professionnels bien répertoriés : principalement, troublesmusculosquelettiques, lombalgies, fatigue visuelle, et stress. Face à ces risques, nous proposons d'agir sur l'aménagement du poste de travail, sur lechoix du matériel et sur l'organisation du travail. Lire notamment : https://www.inrs.fr/risques/travail-ecran/ce-qu-il-faut-retenir.html
Le chercheur ou la chercheuse ne sera pas exposé-e à des produits toxiques, à des pathogènes, au bruit, aux vibrations, aux rayonnemmentsdangereux, ni à l'électricité à haute tension.
Il est attendu que le chercheur ou la chercheuse parte en mission en France ou à l'international deux à trois fois par an. Les dates et destinations restent à
négocier en fonction des contraintes personnelles du chercheur ou de la chercheuse.
Les risques de chute, d'incendie ou d'électrocution sont faibles, et soumis à un contrôle par les assistants de prévention du laboratoire.